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William Allen

« J'ai toujours su qu'il avait quelque chose de pas net chez ce Allen » – Albus

Nom complet : William Christopher Allen

 

Surnom(s) : Will

 

Origine : du nom germanique "Willahelm", composé de "wil" « désir, souhaiter ardemment » et "helm" « casque, protection ». Allen est un nom de famille répandu en Grande-Bretagne qui signifie "pierre". 

 

Né le : 5 novembre 2004 (7ème année)

 

Astrologie : Scorpion 

 

Ascendance : Né moldu

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Mère : "Jane", Janette Allen. Une femme de petite taille aux cheveux blonds. Très musclée, son physique est l'image de son métier : professeur de fitness. 

 

Père : "Chris", Christopher Allen. Un homme élégant, à la barbe saillante. Il est conseiller bancaire. 

 

Frère(s) & Soeur(s) : fils unique

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Domicile : appartement qu'il partage avec ses parents.

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Maison : Gryffondor, bien qu'il aurait eu tout aussi bien sa place à Serpentard. C'est sur cette question délicate, que le Choixpeau s'est cassé le bec pendant six minutes et quarante-huit secondes, faisant de William le premier Chapeauflou depuis 27 ans. 

 

BUSE : Astronomie (O), Botanique (P), DCFM (E), Histoire de la Magie (A), Métamorphose (O), Potions (O), Sorts & Enchantements (O), Arithmancie (O), Etudes des Runes (E).

 

Attaches : Aucune

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Animal de compagnie : aucun, William n'aime pas beaucoup les animaux, raison pour laquelle il préféra choisir l'arithmancie et l'étude des runes plutôt que les soins aux créatures magiques. 

 

Baguette : Sycomore, ventricule de dragon, 29,7 cm, souple.

 

"Le sycomore produit des baguettes tournées vers la quête, avides de nouvelles expériences, et qui perdent de leur éclat lorsqu’on leur impose des activités trop terre à terre. C’est un trait particulier de ces belles baguettes de pouvoir prendre feu lorsqu’elles « s’ennuient ». De nombreux sorciers et sorcières, s’installant dans l’âge mûr, sont déconcertés de voir des flammes jaillir de leur fidèle compagne lorsqu’ils lui demandent, une fois de trop, d’aller chercher leurs pantoufles. Comme on peut s’en douter, le possesseur idéal de cette baguette a l’esprit curieux, une grande vitalité, le goût de l’aventure. Associée à un tel maître, la baguette de sycomore montre une capacité d’apprentissage et d’adaptation qui lui vaut une place de choix parmi les baguettes les plus appréciées au monde."

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Béguin(s) : Melice Brewster, bien qu'ils mirent fin à leur relation d'un commun accord, quelques mois plus tard. Je crois que l'un comme l'autre se sont rendu compte qu'ils s'appréciaient en tant qu'amis mais n'avaient pas réellement de sentiments amoureux. Ils en restèrent très complices. William ne comprit pas tout de suite qu'Eraleen Ward lui tournait autour. Ils échangèrent un bon nombre de petits mots en arithmancie, apprenant à se connaître et prenant plaisir à ce petit jeu. Impressionné par son intelligence, William la complimentera plusieurs fois pour ses résolutions d'équations. Ils passèrent plusieurs mois à se retrouver, en cachette, dans des coins du château. Déchiré par la nature à la fois houleuse et passionnée de leur relation, aucun des deux n'osera avouer ses sentiments. Bientôt, Era se fit courtiser par Tubbagus Prinz et il lui proposa finalement de sortir ensemble, trouvant alors le courage que William n'avait pas eut. 

 

Amortensia : odeur de terre fraîche, de champignons et de tritons au gingembre. 

 

Épouvantard : un filet du diable qui tente de l'étrangler. 

 

Patronus & animagus : #surprise

 

Apparence : plutôt maigre, le dos voûté et les épaules tombantes. Le nez droit, les yeux vifs. Cheveux bruns portés à mi-longueur. 

 

Personnalité : esprit vif, savant, dynamique, qui aime l’exercice intellectuel mais pas au point de se tuer à la tâche, William préfère bien souvent se reposer sur ses acquis. Personnalité ambivalente qui bien qu'assez solitaire et indépendant, aime appartenir à un groupe. Doté d'une honnêteté directe qui peut parfois blesser, William ne se soucie pas vraiment d’être considéré comme sensible ou compatissant, et considère l'intellect et la réussite comme ayant plus d'intérêt. Il n'aime pas être amadoué, acheté ou y aller par quatre chemins. 

 

Retour sur le personnage : je connais les grandes thèses sur la relation auteur/personnage –je suis la première à les lancer– selon laquelle l'auteur créé et développe des personnages autour d'une de ses facettes, en parlant de situations qu'il connaît et dénonçant des injustices dont lui-même a été victime, comme si l'histoire qu'il racontait était finalement la sienne. Je le confesse : parfois, à sa façon de réagir, je me vois à travers lui, comme si c'était moi et pas William qui prenait la parole. Je suis comme lui, mais la plus part du temps je préfère nier ça.

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